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LES ORIGINES DU REGIME ET RIT ECOSSAIS RECTIFIE
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CERCLE ESOTERIQUE ET CHRETIEN “ CHEVALIER IACOBUS “
Cette maturation a commencé dans les pays de l'Europe du nord, né de l'apport testamentaire de l'hermétisme, l'alchimie, la cabale, la Franche Maçonnerie a attiré les sujets des états correspondant aujourd'hui à l'Allemagne en particulier.
STRICTE OBSERVANCE TEMPLIERE : Le système le plus important par son influence fut le régime de la S.O.T (stricte observance templière) dont le fondateur fut le Baron KARL VON HUND (1722-1776) celui-ci prétendait avoir été initié à Paris par le Prince Écossais CHARLES EDOUARD STUART et avoir reçu des Supérieurs Inconnus la mission de réformer la Franche Maçonnerie allemande. Il introduisit un nouveau système en 5 grades avec des rituels rédigés en latin, enseignant que l'ordre maçonnique venant en direction de " l'Ordre du Temple " devait en perpétuer l'existence et en revendiquer l'héritage, tant spirituel que matériel.
En 1772, le Convent de KOLHO répudia formellement la dépendance de la S.O.T et de tous les Supérieurs inconnus et VON HUND dut démissionner de ses fonctions de Grand Maître. Le Duc de BRUNSWICK fut appelé à la tête de l'ordre avec le titre de Grand Supérieur. La nouvelle structure comportait 7 degrés : apprenti, compagnon, maître, maître écossais, novice chevalier du temple, chevalier profès, auxquels fut rajouté plus tard un grade de clerc franc-maçon, ou grand profès, ces deux derniers grades correspondant à la classe d'initiation sacerdotale.
Dans les pays scandinaves, la 1ère loge fut fondée à STOCKHOLM en 1735. En 1756, fut constitué le chapitre illuminé de STOCKHOLM qui jeta les bases d'un Rite Maçonnique particulier le Rite Suédois. En 1774, le Prince Charles de Suède (futur Charles XVIII) fut élu Grand Maître de l'Ordre et constitua la Grande Loge Nationale de Suède. Le Rite Suédois fut formé d'éléments de l'ancienne maçonnerie anglaise, des hauts grades écossais, du templarisme, de la stricte observance templière et de certains enseignements mystiques d'Emmanuel de SWEDENBORD (1688-1772), chef d'une religion nouvelle, ce dernier exerça une grande influence sur la Franc Maçonnerie de son temps, notamment par l'intermédiaire de son disciple MARTINEZ de PASQUALLY que l'on retrouve ( 1715-1774), et qui je vous le rappelle est l'auteur du " Traité de la Réintégration des êtres crées dans leurs primitives propriétés , vertus et puissances, spirituelles et divines ".
- ORDRE DES ELUS COHENS : MARTINEZ DE PASQUALY , Jacob Delivon Joachin Martines de Pasqualy La Tour de La case est une personnalité fascinante de l'ésotérisme du XVIIIème, fondateur comme Cagliostro d'une maçonnerie occulte. Sa doctrine qui est une théosophie, est à l'origine du mouvement Martiniste et a largement inspiré la maçonnerie rectifiée, à travers Jean-Baptiste Willermoz, son plus fervent disciple.
On en sait peu sur la vie de Martines, il serait né en 1710 dans une famille catholique d'origine juive espagnole, lui même baptisé et marié à l'église, se dit catholique à maintes reprises. Mais il montre une culture fortement imprégnée de judaïsme ou de judéo-christianisme.
On sait qu'il mène une carrière militaire à partir de 1737 principalement au service de l'Espagne.
En 1754, il fonde à Montpellier le Chapitre des Juges Écossais. Puis à partir de 1760, muni d'une patente concédée à son père par le prétendant Stuart et à lui transmissible, il cherche à diffuser sa doctrine dans les milieux
maçonniques. On le retrouve à Toulouse puis dans divers Orients du sud de la France. Après quelques tentatives malheureuses et des heurts avec la Grande Loge de France, il parvient à créer l'Ordre des Chevaliers Maçons Élus Cohen de l'Univers. Durant vingt années de 1754 à 1774, année de sa mort, Martinez de Pasqualy travailla sans arrêt à la construction de son Ordre des Chevaliers Maçons Élus Cohen de l'Univers. En 1761, il s'affilie à la loge La Française à Bordeaux et y fonde un temple Cohen. Cette loge La Française devient en 1764, la Française Élue Écossaise, pour indiquer par ce nouveau nom qu'elle possède un Chapitre de grades supérieurs.
Mais la direction de l'Obédience Maçonnique abolissant en 1766 toutes les constitutions relatives aux grades supérieurs aux trois premiers (apprenti, compagnon et maître), le Chapitre se trouve suspendu. C'est en cette même année 1766 que Martines vint à Paris et fonda un temple Cohen avec Bacon de la Chevalerie, Jean-Baptiste Willermoz, Fauger d'Ignéacourt, le comte de Lusignan, Henri de Loos, de Grainville, etc. En 1767, il établit son Tribunal Souverain qui devait régenter tout l'Ordre des Élus Cohen. La rencontre avec Saint-Martin en 1768 devait avoir une grande importance pour l'un comme pour l'autre.
La personnalité et l'enseignement de Martines de Pasqualy firent sur Saint-Martin une impression profonde et durable. Réciproquement, Martines fut lui-même influencé par Saint-Martin. Ce dernier quitte l'uniforme en 1771 et devient le secrétaire de Martines, remplaçant dans cette tâche l'abbé Pierre Fournié. De cette époque date la mise au point des rituels ainsi que la rédaction du Traité sur la Réintégration des êtres, base doctrinale de la théosophie et de la théurgie martinésistes.
La doctrine de Martines, dont le caractère chrétien ne fait aucun doute, se présente comme la clef de toute cosmogonie eschatologique : Dieu, l'Unité primordiale, donna une volonté propre à des êtres "émanés" de lui; mais Lucifer, ayant voulu exercer lui-même la puissance créatrice, tomba victime de sa faute en entraînant certains esprits dans sa chute; il se trouva enfermé avec eux dans une matière destinée par Dieu à leur servir de prison.
Puis la Divinité envoya l'Homme, androgyne au corps glorieux et doué de pouvoirs immenses, pour garder ces rebelles et travailler à leur résipiscence; c'est même à cette fin qu'il fut créé. Adam prévariqua à son tour et entraîna la matière dans sa chute; il s'y trouve maintenant enfermé; devenu physiquement mortel, il n'a plus qu'à essayer de sauver la matière et lui-même. Il peut y parvenir, avec l'aide du Christ, par la perfection intérieure, mais aussi par les opérations théurgiques qu'enseigne Martines aux hommes de désir qu'il estime dignes de recevoir son initiation : fondées sur un rituel minutieux, ces opérations permettent au disciple d'entrer en rapport avec des entités angéliques qui se manifestent dans la chambre théurgique sous forme de "passes" rapides, généralement lumineuses; ces dernières représentent des caractères ou hiéroglyphes, des signes des esprits invoqués par l'opérant, auquel les manifestations prouvent qu'il se trouve sur la bonne voie de la Réintégration.
Cette doctrine, destinée à une élite réunie sous le nom d'élus "cohen" (prêtres élus), connaîtra une fortune singulière, mais les opérations théurgiques resteront réservées aux seuls initiés. Martines n'utilise guère la franc-maçonnerie qu'afin de greffer sur elle son système. Jusqu'en 1761, on le trouve à Montpellier, à Paris, à Lyon, à Bordeaux, à Marseille, à Avignon. En 1761, il construit son temple particulier à Avignon, où il réside jusqu'en 1766.
À cette époque, l'ordre des Cohen se présente comme un système de hauts grades enté sur la maçonnerie bleue. La première étape comprend trois grades symboliques auxquels s'ajoute celui de maître parfait élu; puis viennent les grades Cohen proprement dits : apprenti Cohen, compagnon Cohen, maître Cohen, grand architecte, chevalier d'Orient, commandeur d'Orient; enfin le dernier grade, consécration suprême, celui de réaux croix.
En 1768, Willermoz est ordonné réaux croix par Bacon de La Chevalerie. Saint-Martin, initié aux premiers grades vers 1765, devient commandeur d'Orient. Les années 1769 et 1770 voient les groupes cohens se multiplier très largement en France. En 1772, Saint-Martin est ordonné réaux croix.
Martines, parti la même année pour Saint-Domingue afin de toucher un héritage, il devait y mourir en 1774. Par la suite, l'Ordre se désagrège. Dès 1776, les temples cohen de La Rochelle, de Marseille, de Libourne rentrent dans le giron de la Grande Loge de France. En 1777, le cérémonial n'est plus en usage, semble-t-il, que dans quelques cénacles comme Paris, Versailles. Enfin, en 1781, Sébastien Las Casas, troisième et dernier grand souverain des élus cohen (successeur de Caignet de Lester, décédé en 1778), ordonne la clôture des huit temples qui reconnaissent encore son autorité. Ni Caignet ni Las Casas n'ont joué un rôle bien important. Malgré cette clôture officielle, des élus cohen continuent à exercer la théurgie, à procéder à des ordinations. D'autre part, l'enseignement théosophique de Martines n'est pas perdu pour autant; au sein de la maçonnerie, il se répand encore longtemps après la mort de ce chef de file, grâce au système maçonnique institué par Willermoz peu après la mort de son maître.
Outre Willermoz et Saint-Martin, on connaît comme disciple de Martines l'abbé Pierre Fournié. C'est vers 1768 que ce dernier rencontre le maître qui va bouleverser de fond en comble sa destinée et auprès duquel il exercera plusieurs mois les fonctions de "secrétaire". Initié élu Cohen, le clerc tonsuré Fournié réside surtout à Bordeaux, où il sert d'intermédiaire entre différents membres de l'Ordre.
- MARTINESISME ET/OU MARTINISME : Les dix pages du Livre de l'homme
La première traitait du Principe universel, ou du Centre, d'où émanent continuellement tous les Centres. La seconde, de la Cause occasionnelle de l'Univers ; de la double Loi corporelle qui le soutient ; de la double Loi intellectuelle, agissant dans le temps ; de la double nature de l'homme, et généralement de tout ce qui est composé et formé de deux actions. La troisième de la base des Corps ; de tous les résultats et des productions de tous les Genres, et c'est là que se trouve le nombre des Êtres immatériels qui ne pensent point. La quatrième, de tout ce qui est actif ; du Principe de toutes les Langues, soit temporelles, soit hors du temps ; de la Religion et du culte de l'homme, et c'est là que se trouve le nombre des Êtres immatériels qui pensent. La cinquième, de l'Idolâtrie et de la putréfaction. La sixième, des Lois de la formation du Monde temporel, et de la division naturelle du Cercle par le rayon. La septième, de la cause des Vents et des Marées ; de l'Échelle géographique de l'homme ; de sa vraie Science et de la source de ses productions intellectuelles ou sensibles. La huitième, du nombre temporel de celui qui est le seul appui, la seule force et le seul espoir de l'homme, c'est-à-dire, de cet Être réel et physique, qui a deux noms et quatre nombres, en tant qu'il est à la fois actif et intelligent, et que son action s'étend sur les quatre Mondes. Elle traitait aussi de la Justice et de tous les pouvoirs législatifs ; ce qui comprend les droits des Souverains, et l'autorité des Généraux et des Juges. La neuvième, de la formation de l'homme corporel dans le sein de la femme, et de la décomposition du triangle universel et particulier. La dixième enfin était la voie et le complément des neuf précédentes. C'était sans doute la plus essentielle, et celle sans laquelle toutes les autres ne seraient pas connues, parce qu'en les disposant toutes dix en circonférence, selon leur ordre numérique, elle se trouve avoir le plus d'affinité avec la première, dont tout émane ; et si l'on veut juger de son importance, que l'on sache que c'est par elle que l'Auteur des choses est invincible, parce que c'est une barrière qui le défend de toutes parts, et que nul Être ne peut passer.
- FRANCHE MACONNERIE LYONNAISE : Un fonds de plusieurs milliers de documents sur la franc-maçonnerie et sur l'ésotérisme continue à être aujourd'hui enrichi. La collection des manuscrits de Jean-Baptiste Willermoz, qui fonde à Lyon en 1753 la Loge de la Parfaite Amitié au Rite Français traditionnel sous la paternité de la Grande Loge de France permet de retracer un aspect important de l'histoire de la franc-maçonnerie lyonnaise, française et internationale du XVIIIe siècle. Les archives de Papus et de son fils Philippe Encausse, les fonds Sédir, Saint-Yves d'Alveydre, Bricaud, Fugairon, Lacuria acquis depuis un siècle, sont indispensables à tout passionné de l'occulte. Deux rituels de maçonnerie égyptienne témoignent d'un fait d'importance : le passage à Lyon du Grand Cophte, Cagliostro, en 1784.
Jean-Baptiste Willermoz initié Cohen en 1767 puis Réaux Croix en 1768, trop tôt de l'avis de Martines, devra attendre 10 ans avant d'obtenir une manifestation lors d'un rituel Cohen. Après la mort de Martines il entraîne les Élus Cohen de Lyon vers une organisation maçonnique allemande, la Stricte Observance, qu'il transformera plus tard en Régime Écossais Rectifié et dont il supervisera la rédaction des rituels. Au long des grades du RER, Willermoz distille habillement l'enseignement martinésien sans y intégrer la théurgique.
En cela on peut dire que le RER bien qu'incontestablement maçonnique est un proche parent du martinisme. Dans les pays orthodoxes on appelle d'ailleurs encore " martinistes " les loges rectifiées.
La revendication d'une filiation templière directe est abandonnée, bien que l'on continue à admettre une filiation spirituelle ou morale. Par conséquent le projet de restauration de l'Ordre du Temple est lui aussi rejeté. Le régime est désormais structuré de la manière suivante :
Une classe symbolique en quatre grades : Apprenti, Compagnon, Maître, et Maître Écossais (dit plus tard de Saint André), la classe chevaleresque avec les C.B.C.S., grade assorti d'une période probatoire d'Écuyer Novice, et enfin une classe sacerdotale : la profession avec les grades de Profès et Grands Profès, cette dernière classe étant très secrète puisque seuls ses membres devaient en connaître l'existence.
Willermoz réussit donc le tour de maître d'introduire la doctrine martinésienne dans le système de la S.O.T. malgré les réticences d'une majorité des représentants.
Cependant les rituels des nouveaux grades ne sont qu'ébauchés par le convent. Les frères français sont donc chargés de les rédiger et de les présenter au Grand Maître pour approbation, ce qui ne sera fait qu'en 1787 pour les grades bleus, et 1809 pour celui de Maître Écossais.
Jean de Turckheim rédigera les rituels de l'Ordre Intérieur (Écuyer Novice et C.B.C.S.), Willermoz et Pélisse Du Luc ceux des trois premiers grades, Willermoz s'occupera seul des rituels de la dernière classe. De même dans son grand âge finira-t-il seul le rituel de Maître Écossais, que ses amis morts ou dispersés lors des vagues révolutionnaires n'ont pas pu achever.
Dans les premières années du XIXème le RER déclinera rapidement pour ne subsister que par son Prieuré d'Helvétie à qui les provinces remettent leurs archives avant de s'éteindre.
Paradoxalement c'est cette mise en sommeil qui a permis au RER de garder sa cohérence originale et sa relative uniformité, en le soustrayant à la vague de réformes qu'ont connues les autres rituels, dont certains existent en des dizaines de versions suivant l'époque et l'obédience.
Le RER a fait son retour en France en 1910 avec la réception au grade de C.B.C.S. de trois frères du Grand Orient par le Grand Prieuré d'Helvétie. Il connaît aujourd'hui un regain de vitalité, et est pratiqué dans plusieurs Obédiences, Grandes Loges ou Grands Prieurés.
Bien que méconnu de nombreux maçons, Martines de Pasqualy reste la principale influence du R.E.R., il a profondément marqué Saint Martin et Willermoz et à travers eux l'esprit de la maçonnerie rectifiée. Son enseignement mêlé à celui de Jacob Böhme et restitué par Louis Claude de Saint Martin trouvera un écho formidable dans le mouvement romantique au XIXème siècle.
Et je le répèterai souvent, ce Rite est difficile car comme il est pur et sans décors, le travail dans sa doctrine est éprouvant et peu de Frères quand ils rentrent en Franche Maçonnerie sont
prêts à accepter cet effort car il est plus facile de copiner ou de fraterniser dans les loges pour obtenir un avancement et des décors qui sont le reflet du monde profane.
Alors que c'est tout le contraire pour celui qui ouvre ses yeux et son cœur la voie est facile si on laisse ses métaux et ses préjugés sur le parvis, mais complètement sans faux semblants…
Il est important de distinguer deux mots :
Le REGIME ECOSSAIS qui désigne l'ordre intérieur qui dirige et contrôle l'ensemble
LE RIT lui est constitué de nos formes rituelles et pratiques avec la règle en Neuf Points
Et tout le régime rectifié est construit sur le chiffre 9 dans sa structure opérative…
On prend conscience que de tout temps, des dérives ont pris naissance dans toutes les obédiences ou confréries, la nature de l'homme y a contribué.
Dans le domaine initiatique qui est le nôtre, le critère de vérité historique ne réside pas dans la datation exacte des évènements et des idées. Nous devons en fait guider nos travaux sur les trois axes de la connaissance spirituelle et de la recherche historique, mais aussi principalement sur la compréhension du dogme chrétien et de ses apocryphes et se demander mais quel est cette vérité si importante, si terrible que les symboles nous cachent et que nous avons en nous mais tellement enfouie dans notre inconscient qu'il nous faudra une vie voir plus pour le découvrir.
Ce critère de vérité se trouve en fait dans l'homogénéité d'une doctrine ésotérique où l'amour de l'autre est le centre, où le don de soi est l'enveloppe et où la charité en est l'écorce.
Les premiers chrétiens appelés " parfaits " travaillaient déjà sur l'écorce et le noyau et sur le passage entre les deux. Et tant que ces critères ne seront pas réunis en nous, nous ne trouverons pas le divin.
Le Rite Écossais Rectifié fondé par Jean Baptiste WILLERMOZ est dépositaire d'une connaissance spirituelle transmise par la voie initiatique.
Ce Rit est la manifestation d'un ordre essentiellement chrétien, comme il l'est indiqué à l'Apprenti lors de son initiation, il nous situe à la fois au début de cette tradition qui prend cette source chrétienne dans " l'ordre templier et la règle de Saint Benoît, qui s'est construite sur le christianisme conformément à la prophétie testamentaire ",
il s'inscrit dans " la certitude de la rédemption avec la colonne ADUC STAT représentant l'homme déchu qui doit se relever " et " il doit se terminer dans la résurrection de l'âme astrale pour reprendre sa place dans
la Jérusalem céleste ".
Nous sommes des Maçons Rectifiés au vrai sens du Verbe incarné, c'est-à-dire rendus droits par l'Équerre (dirigit obliqua) et adhérent à un Ordre chrétien mais dans sa plus grande beauté " Foi dans l'homme, Espérance dans la vie, Charité envers l'autre ", il n'y a pas de dogme dans notre quête mais une doctrine qui nous nourrit, nous instruit, nous guide.
Cette doctrine fait peur à beaucoup de Frères car elle renvoi comme le symbole du miroir au grade de compagnon, la vérité dans son amplitude, dans sa dimension personnelle, " aimez vous les uns les autres aimait à rappeler le Christ, mais pour aimer les autres, il faut d'abord s'aimer soi-même.
Ce qui oblige d'une terrible exigence envers soi même d'abord et ensuite envers les autres et sa source divine contribue à cette peur car rien ni personne ne peut la changer.
Ainsi cette possibilité nous est offerte, par paliers successifs et d'état en état, la potentialité d'une réalisation spirituelle complète et d'une conduite exemplaire dans la vie profane.
Les sources du texte ci-dessous sont issus de livres ésotériques publiés
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